
L’effet de souffle des déclarations de Donald Trump sur l’industrie automobile continue à produire son effet. Cette dernière a beau dire qu’elle s’adaptera une fois que seront véritablement connues les exigences du futur Président des États-Unis qui prendra ses fonctions le 20 janvier prochain, le coup de semonce a été entendu et les marques annoncent des créations d’emploi pour les Américains pour cacher cette délocalisation que l’on ne veut plus voir. Dernier signe d’allégeance en date : celui de Fiat Chrysler.