
Nissan et Renault auraient entamé des discussions pour remettre à plat l'Alliance. Le Losange pourrait baisser sa participation dans le japonais. En échange, ce dernier approuverait la fusion avec Fiat.
Nissan et Renault auraient entamé des discussions pour remettre à plat l'Alliance. Le Losange pourrait baisser sa participation dans le japonais. En échange, ce dernier approuverait la fusion avec Fiat.
Malgré ses six années et une retraite qui approche à grand pas, le Renault Captur de première génération continue de s'écouler par camions entiers. Sur les derniers mois, il s'est même hissé dans le Top 3 des ventes européennes, et est parvenu à rester la meilleure vente de sa catégorie. De bon augure avant l'arrivée du nouveau Captur pour Renault.
Dans un marché mondial en forte baisse, le groupe Renault semble résister. Mais la maison mère chute lourdement. Le bilan est en partie sauvé par Dacia et Lada.
Quand l’un des patrons de BMW et les analystes économiques raillent le manque de succès de la voiture électrique aujourd’hui, ils tombent dans le même piège que leurs prédécesseurs qui conspuaient la voiture thermique il y a plus de 100 ans.
Renault est sous pression. D'une part, il n'y a plus de discussions avec Fiat. D'autre part, le patron de Nissan n'a pas montré une volonté de réchauffer rapidement les relations avec son allié.
En dehors de l'Europe, Renault se spécialise dans les modèles à bas coûts. Quatre ans après la Kwid, le Losange vient de dévoiler en Inde le Triber, un petit monospace low-cost.
Ce printemps, Renault a lancé la City K-ZE destinée au marché chinois. Pour la première fois, une citadine à motorisation électrique joue la carte du low cost. Le bas coût, un casse-tête récurrent pour le design et le marketing depuis plusieurs décennies.
Le constructeur français qui souhaite être mieux représenté dans la nouvelle organisation de l’Alliance, décidée suite à l’arrestation de Carlos Ghosn, a eu gain de cause. Selon une source proche du dossier, Nissan va accepter les demandes de Renault.
Renault compte bloquer la mise en place d'une nouvelle gouvernance chez Nissan, estimant que son pouvoir sera marginalisé alors qu'il détient 43 % du japonais.
Rupture de fiançailles à Billancourt. La belle Italienne n'a pas supporté que le Français demande le temps de la réflexion. Pas rancunier, ce dernier ne ferme pourtant pas la porte. Faut-il garder le champagne au frais ? Ou mettre la pièce montée à la poubelle de l'histoire ?
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