
Le podium du baromètre de l'image des entreprises françaises Ifop/Posternak est composé de Michelin, Citroën et Peugeot. Renault fait son retour dans le top 10.
Le podium du baromètre de l'image des entreprises françaises Ifop/Posternak est composé de Michelin, Citroën et Peugeot. Renault fait son retour dans le top 10.
Carlos Ghosn devrait poursuivre son chemin à la tête du Groupe Renault jusqu'en 2022, où il passera le flambeau à un dirigeant qui pourrait être Thierry Bolloré. En attendant, sa rémunération a été votée et sera à la baisse de 30 %, comme prévu.
Lors de l'assemblée générale du groupe, Carlos Ghosn a annoncé que Renault compte rester en Iran. Une stratégie opposée à celle de PSA.
Après le bond de 10% enregistré au mois d’avril, les immatriculations de voitures neuves ont sérieusement ralenti au mois de mai à 0,8%, selon l’Association des constructeurs européens d’automobiles (ACEA).
Carlos Ghosn va être reconduit à la tête de Renault, avec un mandat de quatre ans. Mais selon le Financial Times, il devrait passer la main avant 2022.
Selon Mediapart, PSA et Renault auraient utilisé un logiciel qui aurait fait augmenter les prix de pièces détachées, les constructeurs profitant de leur monopole sur ces éléments.
Le sujet ne faisait au départ que l'objet d'une rumeur, mais cette information semble se préciser puisque Carlos Ghosn n'a pas écarté l'idée de la fusion entre Renault et Nissan. Cette fois, il explique simplement que ce ne sera pas pour le futur proche.
Les pouvoirs publics ont dévoilé un plan de développement des technologies de conduite autonome, dans l'intention de faire de notre pays un leader mondial dans le domaine. Les objectifs sont ambitieux et les industriels pleinement engagés. Reste un obstacle à lever, et non des moindres: les réticences des Français.
Mardi soir, Donald Trump annonçait son retrait de l'accord sur le nucléaire iranien. Et le retour de sanctions économiques contre le pays et ses partenaires. PSA et Renault pourraient perdre gros. On vous explique pourquoi.
Pour Hiroto Saikawa, PDG de Nissan, une fusion des marques de l'Alliance n'aurait pas d'intérêt. Selon lui, l'Alliance permet d'améliorer la rentabilité grâce aux synergies tout en conservant une indépendance.
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