L'avantage d'être présent sur les trois principaux marchés mondiaux est que l'on peut relocaliser facilement une partie de la production. C'est ce que va faire Volvo en transférant une partie des XC60 de la Chine vers l'Europe, pour échapper aux taxes sur les importations chinoises promises par Donald Trump.
Volvo vient de publier ses tout derniers résultats pour l'année 2018. Le géant suédois a vendu plus de 317 000 véhicules à travers le monde, soit une croissance de 14,4 % par rapport à l'an dernier. A ce rythme, l'objectif des 800 000 ventes annuelles devrait être atteint facilement dès 2019.
Fidèle à ses habitudes, Volvo a brillé. Son XC40 obtient de très bonnes notes Euro NCAP. La nouvelle Ford Focus s'en sort aussi plus que bien !
Des Volvo Motorsport ? Non, pas vraiment. Le constructeur suédois lance une nouvelle division baptisée "M". Même si elle peut faire penser au pendant sportif de BMW, il s'agit en fait d'une activité d'autopartage qui devrait se démocratiser dans le futur.
Même si Volvo est présent historiquement aux Etats-Unis depuis le milieu des années cinquante, mais la marque suédoise n'a jamais produit sur place, préférant importer depuis la Suède. La donne va changer puisque le constructeur annonce la construction de sa première usine américaine.
Les ventes du XC40 dépassent toutes les espérances de Volvo. Pour faire face à la demande, le suédois va donc booster la production dans son usine de Gand, en Belgique.
Volvo produit en Chine la S90. Et pour un représentant de la marque, la qualité de fabrication est meilleure par rapport aux voitures européennes.
Voilà seulement quelques semaines que le grand patron de Geely (propriétaire de Lotus, Volvo et Lynk&Co, entre autres) est devenu le premier actionnaire de Daimler que le patron de Mercedes montre sa méfiance. Dieter Zetsch annonce que le géant allemand a prévu le coup en cas de potentielle volonté de rachat de la part des Chinois.
Le rapprochement entre Geely, propriétaire de Volvo, et Daimler, pourrait avoir des conséquences inattendues. Mercedes n'est en effet pas fermé à fournir des moteurs à Volvo et même à monter au capital du géant suédois en retour.
En 2014, Volvo a pris un nouveau départ avec le XC90 deuxième du nom. Depuis, les nouveautés se sont enchaînées, les ventes se sont envolées, les prix prestigieux se sont multipliés… Explications sur une refonte réussite.
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