Publié mercredi dernier, un rapport de l'Académie des sciences sociales de Chine estime que Pékin est une ville « à peine vivable » du fait de sa pollution atmosphérique.
Automobile, industrie, chauffage au charbon... la capitale chinoise se sortira-t-elle un jour du brouillard perpétuel qu'elle subit ? On l'espère, malgré le classement peu optimiste établi par l'Académie des sciences sociales de Chine. Sur les 40 villes internationales étudiées dans le rapport, Pékin arrive en avant-dernière position en termes de « qualité » de l'air... juste devant Moscou.
Ce constat dramatique et surtout continu depuis de longs mois aurait alerté la sensibilité des autorités locales, qui ont promis de lever 10 milliards de Yuans (1,21 milliards d'euros) pour tenter d'arranger les choses.
Si la révolution indutrielle chinoise est en plein essor, son déclin environnemental est également bien parti. Et ce n'est pas en fermant les autoroutes et les aéroports que la situation devrait s'améliorer.
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