La nouvelle Formule 2 a déjà commencé à faire de l’ombre au GP2 avant même que les premières courses n’aient eu lieu. Plus accessible, mais moins sophistiquée également, la Formule 2 contemporaine semble plus en phase avec la conjoncture.

Pourtant le patron du GP2, Bruno Michel, se veut confident, comme il l’a expliqué aux Britanniques d’Autosport. La Formule 2, dont de nombreux meetings auront pour cadre les épreuves largement médiatisées du WTCC, ne menace pas le GP2 selon Michel. Il estime que la proximité du GP2 avec la F1 (que la F2 revendique aussi) et le haut niveau de performance du GP2, font la différence par rapport à la nouvelle venue.

Cet optimisme est beau à voir, seulement la réalité pourrait être un peu différente. La nouvelle F2 a fait le plein au niveau des engagés et, même s’il est trop tôt pour savoir quelle discipline enverra le plus de pilotes en F1, la lutte médiatique est d’ores et déjà engagée.

Source : Autosport