Au début du mois, l’Institut de Veille Sanitaire (InVS) a mis en ligne le numéro de septembre d’Extrapol, une revue traitant des publications internationales : ce numéro traite de la pollution atmosphérique et de ses conséquences sur la santé, en particulier les effets cardiovasculaires provoqués par la dégradation de la qualité de l’air.

Dans ce numéro, neuf publications sont analysées et toutes sont alarmistes : Extrapol, qui se veut être une revue critique, affirme que « deux mécanismes biologiques font actuellement consensus pour expliquer l'association entre la pollution atmosphérique et les risques cardiovasculaires : dans l’une, les principaux mécanismes mis en jeu sont ceux du stress oxydatif et de l’inflammation; dans l’autre, c’est le contrôle nerveux autonome du coeur qui serait affecté. »

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