Le reportage nous met en prise direct avec la réalité : il n'est décidément pas évident d'acheter une Mia, même en Poitou-Charentes où elle est pourtant fabriquée. A l'occasion cliente décidée, la journaliste a dû braver les répondeurs sans fin des revendeurs pour, de guerre lasse, se rendre dans les Deux Sèves afin de toucher son Saint Graal. Mais là aussi, l'argumentaire du commercial et ses marges de manœuvre pour séduire se sont avérés problématiques.


Conclusion ? Sans un réseau, le meilleur des produits n'est rien. Pourtant, la société pictavienne a mis en place une nouvelle politique tarifaire qui, annonce-t-on, a fait doubler les ventes mensuelles en un trimestre. La nouvelle présidente, Michelle Boos, a en effet décidé de vendre la Mia U, par exemple, à partir de 8 033 euros TTC, bonus déduit, ce qui représente un rabais d'environ 5 000 euros. Oui mais voilà, encore faut-il un endroit accessible pour passer la commande ...


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