Au japon rouler dans une voiture européenne est d’un exotisme torride, et la Mercedes CLS par toutes ses qualités naturelles et son physique hors-normes est une machine a séduire qui certes va à l’encontre même de la culture automobile locale et de ses préparations dantesques mais qui ne manque pas d’intérêt dans ce pays ou l’automobile est reine.

Forcément quand ces inspirations viennent faire un tir croisé avec la culture allemande, cela nous donne un résultat démoniaque, certes absolument pas efficace, mais d’une virilité féroce. Avec un tel rabaissement inutile de vouloir taquiner le chrono, c’est juste pour le plaisir des yeux, avec des jantes à large déport qui viennent effleurer le bord des ailes.

Pour les modifications apportées a la carrosserie, les lecteurs habitués du Blog auront probablement identifié leur provenance mais aussi apprécié le kit gros frein, qui est aussi beau qu’inutile sur une personnalisation de ce calibre.

Niveau moteur, le V8 5.5l respire à travers un échappement a l’architecture rappelant étrangement celui d’une concurrente (Lexus IS-F).