Depuis quelques années, le carbone n’est plus l’apanage des autos de course. Le coût de l’utilisation de ce matériau ayant considérablement chuté, on le retrouve désormais dans nos autos sportives.

Habillages, carrosserie, châssis… on peut apercevoir ce matériau précieux absolument partout !

Parfois, cela peut aller très loin. Sur une 458 Italia ou une McLaren MP4-12C, on peut piocher dans un catalogue de pièces carbone quasiment infinie.

Un rétro, une baie moteur ou un aileron carbone ? C’est possible. En cochant toutes les cases, il doit être possible de débourser plusieurs dizaines de milliers d’euros en options carbone.

L’auto est-elle plus performante ? Probablement pas, mais esthétiquement, ça en jette grave.

Et à la rigueur, tant mieux. Il faut que des propriétaires passionnés se paient ce genre de joujou… car la démocratisation du carbone sera le seul paramètre qui permettra d’abaisser son coût, et donc d’être proposé dans les sportives les plus modestes, qui sait ?

Notre auto du jour en dispose en pagaille, et cela a probablement contribué à son succès. Mais soyons honnêtes, même si elle n’avait pas de carbone, elle se serait certainement vendue comme des petits pains… Mais au fait, qui est-elle ?