Au lancement de la SRT Viper, comme pour n'importe quelle autre auto, les concessionnaires de la marque ont commandé un certain nombre de véhicules pour les exposer et les vendre, espérant réaliser des profits rapidement. Malheureusement, quelques mois plus tard, la nouvelle Viper est déjà un demi échec qui a le don d'énerver le patron de SRT, Ralph Gilles.


« Les chaînes de production tournent à plein régime. Nous avons même plusieurs centaines d'autos qui vont bientôt sortir de l'usine. Le problème vient d'ailleurs. Je pense que l'erreur que nous avons faite est de mal comprendre un client prêt à dépenser 130 000 dollars dans une auto. L'acheteur veut sa couleur, ses personnalisations, ses packs, son intérieur. Nos concessionnaires ont malheureusement voulu anticiper les ventes en commandant des autos qui ne répondent pas forcément aux clients. Je ne crois pas que notre réseau comprenne vraiment le segment de l'auto sportive », a commenté Ralph Gilles.


L'homme confirme que les ventes se portent bien pour la Viper, même si les 443 concessionnaires SRT proposant la Viper ont « en majorité des modèles en stock dans la concession ». Il reste donc du boulot à SRT pour écouler tous les stocks.