Ferrari 250 GTO : la divine 0 Aussi à l'aise sur la route que sur la piste, la Ferrari 250 GTO symbolisa idéalement le concept de Grand-Tourisme. Belle à couper le souffle, elle est aujourd'hui encore la plus convoitée des Ferrari de collection. La plus chère aussi...
Renault 10 (1965-71) : le vilain petit canard 11 Lancée trois ans après la Renault 8, la "R 10" sera la dernière petite familiale à propulsion de la Régie. Étroitement dérivée de son aînée, dont elle reprend la plate-forme et les motorisations, elle se veut nettement plus "bourgeoise"
Renault 4 L : roulez jeunesse ! 0 Lancée en 1961, la Renault 4 fut la première traction avant de la Régie et l'une des voitures les plus intelligentes de son temps. Pas très jolie, mais tellement attachante, elle va traverser toutes les modes et rester au catalogue pendant 32
FERRARI 512 BB : Symphonie inachevée 0 Développée, à titre privé par Luigi Chinetti le fondateur du NART, la version compétition de la Ferrari 365 GT4 Boxer est relayée trois ans plus tard par une petite série de modèles 512 BB préparés par le service compétition client de
Renault 4cv (1946-61) 2 Seule nouveauté de l’immédiat après-guerre, la 4 CV est la grande vedette du premier Salon de Paris en 1946. Arrivant après des années de frustration, elle symbolise un nouvel appétit de vivre et un désir effréné de rattraper le temps
Maserati Bora : fille du Vent 0 Première Maserati de série à moteur central, la Bora s’attaque à un marché difficile, déjà occupé par la Lamborghini Miura et la Ferrari Daytona. Proche en performances de ses concurrentes, elle offre un confort et une facilité de
Renault 5 (1972 - 1984) : bien dans son temps 1 Produite à plus de 5,5 millions d’exemplaires, la R5 s’impose comme la plus grande réussite de l’industrie automobile française.
Renault Dauphine (1956-67) : la "p’tite reine" 0 "Puisque la 4 CV est la reine du marché, celle-ci sera sa Dauphine",, déclare l’un des administrateurs de la Régie lors de la présentation du prototype.
Ferrari daytona : Enzo voit rouge ! 0 Depuis l'aube des années cinquante, la berlinette à moteur avant est une tradition chez Ferrari, presque un label. Pourtant, en 1966, Feruccio Lamborghini décida de faire mieux en présentant une GT à moteur central: la Miura. Son succès, son