En manque de matières premières, les constructeurs annoncent des délais de plus en plus longs avant de livrer un véhicule neuf. Une situation qui dure désormais depuis une année et qui a incité certaines marques à assurer leur rentabilité coûte que coûte. Leur méthode ? Puisqu’il n’est plus possible de compter sur les volumes pour engranger les milliards, autant que chaque auto livrée soit plus rentable que jamais. Certes, les coûts de fabrication ont augmenté mais une poignée a clairement abusé en matière de hausse de prix. Voici la liste des marques qui ont eu la main très (trop ?) lourde depuis le 1er janvier 2021.

Commercialisé dans une unique version 350 4Matic, le SUV électrique 7 places complète son offre avec une 250 éligible au bonus écologique.

Mazda doit contrôler l’un des faisceaux électriques multiplexés de son SUV afin d’éviter de possibles avaries.

Le nombre de Toyota ayant changé de mains au cours des derniers mois est en forte évolution. Un cas d’école dans un marché qui dévisse.

C’est au pays de l’Oncle Sam qu’un défaut électronique pouvant engendre un feu dans le compartiment moteur a été identifié.

Toute berline Cadillac qui se respecte doit posséder une version V (pour véhémente ?) à son tarif. Désormais, les SUV, l’Escalade en premier, pourront profiter de cette lettre diabolique.

La marque à l’Étoile doit contrôler une bonne part des Classe S d’actuelle génération circulant dans notre pays.

Si les modifications esthétiques que vient de recevoir le SUV familial de Mazda sont assez légères, la structure de gamme évolue en profondeur. Revue de détails.

Plusieurs milliers de Polo sont en cours de rappel pour un souci d’airbag qui a toutefois peu de chances de survenir dans nos contrées.

Le malus écologique made in France impose aux constructeurs de concentrer leurs gammes, dans notre pays, sur les versions les moins émettrices de CO2. Une politique dont vient d’être victime le grand SUV Seat.