Après les tweets comminatoires d’avant la prise de fonction, voici la rencontre bien réelle entre le désormais président des États-Unis Donal Trump et les constructeurs automobiles américains. Un trio composé de Ford, Fiat Chrysler et General Motors, pointé du doigt pour leur délocalisation au Mexique voisin, et qui s’est fendu depuis d’annonces mariant la sincérité avec la communication. Une entrevue où tout le monde est sorti content.
Alors que les cycles automobiles durent en général six ans, chez Fiat, on fait durer le plaisir avec la 500 qui va fêter dans quelques mois ses dix ans. Une troisième génération qui va encore rester un bout de temps au catalogue, comme l'a confirmé le patron de Fiat. Le constructeur turinois n'a de toute façon guère de souci à se faire : la 500 se vend toujours très bien.
Fiat a travaillé sur un retour de la 124 Spider grâce à son partenariat avec Mazda, qui possède l'expérience avec la MX-5. Le constructeur italien nous a déjà gratifiés d'une version Abarth qui rejoint la solitaire 500 au catalogue de la marque au scorpion, mais une autre surprise est à venir pour la fin de semaine. De quoi pourrait-il s'agir ?
Le monospace néorétro Fiat 500L n'a plus vraiment le vent en poupe. C'est pourquoi la firme italienne lui prépare un profond restylage. Ces clichés de plusieurs prototypes montrent que son facelift ne se limitera pas à quelques retouches sur les boucliers.
La Mazda MX-5 a été déclinée récemment dans une inédite version targa avec la RF, qui sera proposée dès le début d'année prochaine en Europe. La cousine italienne, la Fiat 124 Spider, pourrait elle aussi bénéficier d'une variante à toit en dur mais sous la forme d'un coupé, comme nous l'apprennent nos confrères d'Autocar.
Après de nombreuses années de bons et loyaux services, la Fiat Punto va partir à la retraite. La marque italienne va la remplacer par une auto qui sera réservée en premier au marché sud-américain. Son arrivée chez nous pourrait avoir lieu vers la fin de l’année 2018.
Sur le fait de prendre date pour apparaître comme un acteur incontournable lorsque l’avènement de la voiture autonome aura lieu, il y a ceux qui avancent dans la lumière et d’autres qui travaillent dans l’ombre. Apple par exemple a tous les regards sur lui. Pendant ce temps, Samsung place ses pions.
Le patron du groupe Fiat Chrysler Automobiles (FCA) Sergio Marchionne n'est pas contre l'idée d'intégrer des autos survoltées au sein de son entité. Si le feu vert est donné, elles prendront les formes d'une citadine chez Fiat et d'un coupé sportif chez Maserati.
Entre 1967 et 1975, Fiat proposait le coupé cinq places 124 dérivé de la berline 124. Un artiste tente de reproduire l'idée 49 ans plus tard en coiffant le cabriolet Fiat 124 Spider nouvelle génération d'un toit en dur.
Les grandes manœuvres pour la voiture autonome se poursuivent afin de mieux dessiner le paysage automobile de demain. Et cela passe par des alliances. Entre Apple et les Allemands, le courant ne semble pas passer, mais entre Américains, on est en connexion. Entre le groupe FCA et Google, on en serait même à préparer une annonce retentissante.
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