Interrogés par le quotidien Le Parisien sur les infractions au code de la route qu’ils amnistieraient s’ils étaient élus à la présidence de la république, les deux candidats ont révélé leurs intentions. Jacques Chirac s’est prononcé contre l’amnistie des infractions susceptibles de porter atteinte à la vie d’autrui et Lionel Jospin a indiqué qu’il amnistierait les contraventions qui ne sanctionnent pas un comportement dangereux susceptible de se traduire par un retrait de points sur le permis de conduire.