Afin d’encourager les transports aériens à suivre la voie du développement durable, Jean-Louis Borloo a réunit fin janvier ses principaux acteurs. Déjà évoqués lors du Grenelle de l’Environnement, voici les principaux objectifs pour réduire la pollution causée par l’avion : une réduction de 50% des émissions de CO2 par passager et par kilomètre d’ici 2020, une baisse de 80% des émissions d’oxydes d’azote et pour terminer une réduction de 50% du bruit aérien perçu par les riverains.
Le Ministre de l’Ecologie a donc signé une convention avec les professionnels du transport aérien, afin de déterminer les objectifs écologiques à suivre des quinze prochaines années. Charles Edelstenne, le président du groupement des industries françaises aéronautiques et spatiales, est ravi de l’avancée et souhaite que le transport aérien s’inscrive dans « une rupture technologique ». Quant à Pierre Graff, le président d’Aéroports de Paris, il s’est engagé à réduire les itinéraires de « roulage » des avions et à développer une flotte de véhicules électriques.















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