L'étude précise que les habitants des pays en voie de développement se disent plus concernés par le problème du changement climatique que ceux des pays développés. La population des pays riches se révèle très fataliste face aux défis environnementaux, au premier rang desquels les Français, pourtant plus engagés que leurs voisins européens pour réduire les effets du changement climatique. Dans les pays développés, il y a même l'émergence d'un "rejet écologique", autrement dit d'un déni du problème et des solutions engagées pour remédier aux changements climatiques.

Source : AFP