Chez Dunlop, on les explique par le régime de safety car imposé en début de course suite à la sortie de piste de l’Audi n°3.
Les pneumatiques ont en effet de la mémoire. Et, à force de rouler sous safety car, donc à une vitesse anormalement basse, ils peuvent se changer de forme. Lorsque la course reprend son rythme normal, ils sont alors fragilisés sur des zones ou les hautes vitesses exigent une résistance optimales. Des crevaisons pourraient alors plus facilement survenir.
Si cette explication est juste, il faut encore craindre de très nombreuses crevaisons lorsque la course sera de nouveau relancée.













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