Essai - Peugeot 1007 : une citadine décalée

Cinq niveaux d’équipements constituent le menu à la carte de la 1007. La Vitamine oblige de recourir aux options pour la climatisation (990 €), mais n’est pas mal lotie pour une version de base avec les lève-vitres et rétroviseurs électriques, l’ordinateur de bord ou la condamnation télécommandée des portes. Au dessus, la version Dolce est typée confort tandis que la Sporty se veut plus dynamique avec ses jantes alu de 16 pouces ou ses sièges plus enveloppants, les deux disposant de la l’air conditionné non régulé, d’une radio mono CD, d’un volant gainé de cuir, d’un filet de coffre ou d’un miroir de surveillance des enfants. ? Dolce Pack et Sporty Pack se distinguent par l’allumage automatique des feux de croisement, le capteur de pluie, la régulation automatique de la climatisation avec filtre à charbons actifs, les rétroviseurs rabattables électriquement et le régulateur de vitesse (proposé à 200 € sur les autres versions). Bref, le niveau d’équipment est bon ; on en attendait pas moins vu les tarifs de la 1007. Parmi les options, on note la possibilité de système de navigation à écran couleur (2 620 €) ou monochrome (1 570 €), les barres de toit (150 €), le double toit en verre, ouvrant à l’avant (700 €) ou le kit Caméléo supplémentaire. Douze kits différents composés de dix huit pièces chacun permettent de personnaliser de l’intérieur, des enjoliveurs d’aérateurs aux couvercles de rangement arrière. Une proposition à 250 €, paraît-il très attendu de la clientèle.