Essai vidéo -  Chevrolet Captiva restylé : le même en mieux

Essai vidéo - Chevrolet Captiva restylé : le même en mieux

 


Essai vidéo -  Chevrolet Captiva restylé : le même en mieux

Les évolutions les plus voyantes sont évidemment esthétiques. La face avant en particulier, a bénéficié de nombreuses retouches, visant à donner au Captiva une identité plus affirmée, et à lui donner un air de famille plus prononcé avec les autres modèles de la gamme Chevrolet. Mission accomplie : le Captiva 2011 fait plus américain, sa double calandre largement agrandie, barrée du logo de la marque lui donne une "gueule". Les boucliers ont été redessinés, tout comme les feux et le capot. Les prises d'air sur les ailes avant sont également plus étirées. Les jantes adoptent de nouveaux dessins. A l'arrière, rien de notable sinon un traîtement "crystal" des feux.


A l'intérieur la planche de bord est entièrement redessinée également. Pas de quoi y perdre ses petits, mais le dessin est plus moderne, les matériaux mieux choisis (bien que toujours moyens), et l'ergonomie facile. Un bandeau laqué court désormais le long de la planche de bord. Il est du plus bel effet. Le GPS équipant notre version est idéalement placé et tactile. Lui seul souffre d'une ergonomie pas évidente au premier abord. L'assemblage ne souffre pas la critique, tout se tient bien et augure d'un bon vieillissement.


Essai vidéo -  Chevrolet Captiva restylé : le même en mieux

Les cotes d'habitabilité restent les mêmes, et dans la très bonne moyenne de la catégorie. Le Captiva n'a pas à rougir de la comparaison avec un Hyundai Santa Fe ou un Toyota Rav-4. Il reste un véhicule 7 places, de série sur tous les modèles, un avantage qui le place en prix au-dessus de son cousin l'Opel Antara, mais qui lui, reste un 5 places. Et Chevrolet a prévu des prix de lancement jusqu'au 30 mars (entre 4 500 € et 4 900 € de remise), qui le rendent imbattable, nous le verrons...


Le Captiva nouvelle mouture sera disponible avec 4 moteurs. Deux V6 essence, un 2.4 de 167 ch. et un 3.0 à injection directe de 258 ch.. Inutile de s'y attarder, car en France le Captiva se vend à plus de 95 % en diesel. Justement côté mazout, le 2.0 VCDi cède sa place à son évolution 2.2. Les puissances bondissent de 127 et 150 ch. à 163 et 184 ch. Le 163 ch. ne sera proposé qu'en 2 roues motrices, le 184 ch. en 4 roues motrices uniquement, et finition haute. Résultat, pour qui veut rouler en Captiva 4x4, cela signifie faire grimper la note. C'est néanmoins cette version que nous avions entre les mains pour cet essai.