Nous avions laissé l'histoire de la reprise de Fisker à l'épisode du rachat « quasi certain » par Hybrid Technology, le fonds d'investissement de Richard Li, un homme d'affaires de Hong-Kong. Toutefois, depuis ce moment, une nouvelle offre – surprise - est arrivée sur le bureau du juge en charge de régler le dossier après le placement sous Chapitre 21 de l'entreprise. Elle émane de Wanxiang Group, un des plus importants équipementiers chinois, qui a proposé plus de 24 millions de $ sur la table mais elle n'est pas du goût des responsables de Fisker qui souhaitaient être repris par Richard Li.
Selon eux, l'offre de Wanxiang n'est pas honnête car l'équipementier chinois est accusé d'avoir contribué à provoquer la faillite de Fisker en rachetant son fournisseur de batteries A123 Systems Inc et en interrompant les livraisons malgré le contrat en cours. Wanxiang accuser de vouloir tirer profit à moindre coût d'une situation qu'il a créée rejette tout cela en expliquant que Fisker avait déjà quasiment cessé sa production lors du rachat de A123 Systems et accuse certaines personnes au sein de Fisker de vouloir favoriser la vente à Richard Li dont le montage financier est aussi critiqué par les avocats de Wanxiang et par plusieurs créanciers.
















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