Lewis Hamilton ne l’a révélé qu’une fois la ligne d’arrivée franchie, mais il a bien failli ne pas être de cette étape de Valence, nouveau berceau du Grand Prix d’Europe. Affaibli par un refroidissement, « qui m’a vidé et qui m’a donné de la fièvre » déclare l’Anglais, c’est surtout un oreiller qui n’a pas été loin de s’inviter comme l’acteur majeur de cette course au titre 2008. Explication :
« Je me suis réveillé hier très tôt, vers 05 h 00, avec un mal au cou pas possible. Heureusement, il y a un très bon docteur qui me suit et qui m’a traité pendant le reste du week end. J’ai eu des injections et des calmants, mais Pedro (De la Rosa) était là, prêt à me suppléer. Je crois que cela à avoir avec mon oreiller, avec ma position pendant mon sommeil, car la douleur est apparue dès mon réveil. »

« Je ne pense pas que cela se renouvellera. Au vu de ces circonstances, je pense avoir accompli du bon travail aujourd’hui. » Comme quoi il ne faut jamais s’endormir sur ses lauriers dans une Formule 1 où tout peut arriver. Gageons enfin que le pilote McLaren ne manquera pas de faire litière des préjugés qui voudront expliquer ces douleurs du col par une nuit agitée.
















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