Les propulsions hybrides présentent, surtout en milieu urbain, la possibilité de faire des économies. Cela tombe bien, car c’est précisément en ville que la majorité des automobilistes se déplace tous les jours : 85,7% des personnes interrogées parcourent moins de 30 000 kilomètres par an, et plus des 2/3 circulent essentiellement en ville (69%). Selon l’étude, « ces personnes roulant en ville ou sir des courtes distances peuvent réduire de plus de 25% leur consommation d’énergie avec des propulsions hybrides, contribuant ainsi à la réduction des émissions de CO2 ».

Le marché de l’hybride serait même intéressant aux USA, pays connu pour ses infrastructures routières démesurées : « près des 2/3 des Américains circulent en majorité en ville ou sur de courtes distances. »

La notoriété des motorisations alternatives dont l’hybride et l’électrique se démocratisent, et les conducteurs s’y intéressent de plus en plus. Toutefois, même si l’hybride présente un intérêt écologique et économique pour ce type de parcours, les automobilistes attendent un petit coup de pouce fiscal de la part de l’Etat pour se lancer dans l’acquisition d’un véhicule de ce type.