Rubens Barrichello s'est fait une petite frayeur. Coincé à l'aéroport, le pilote Williams a cru qu'il n'arriverait jamais à temps en Australie.
La première course de la saison n’a pas encore débuté, mais une chose est certaine, Rubens Barrichello se souviendra de son voyage pour le moins chaotique. Le Brésilien devait rejoindre l’Australie depuis l’aéroport de Buenos Aires, mais l’ensemble des vols a été annulé suite à une avarie des systèmes de communication.
« J’ai entendu un gars dans le bus qui revenait en disant que ça allait prendre au moins 12 heures, et je me suis dit que c’était un cauchemar, raconte Barrichello. J’ai contacté tout le monde. J’ai appelé Mark Webber pour voir s’il pouvait m’aider avec Qantas. J’ai appelé tous ceux qui étaient susceptibles de m’aider. Ils ont ensuite fermé l’aéroport, je ne pouvais plus prendre mon avion, je ne pouvais plus rien faire. La seule solution était de rejoindre l’Uruguay par bateau pour ensuite prendre un vol pour Santiago, et puis prendre un avion à partir de là-bas pour être ici ce matin.
J’ai pris un taxi jusqu’au port, mais on m’a dit de ne pas embarquer sur le bateau car on avait entendu qu’ils allaient rouvrir l’aéroport. Donc, j’y suis revenu. Heureusement, ils ont dit que ça n’allait pas prendre plus de 24 heures, et j’ai attendu pendant 15 heures. Je ressemblais à l’un de ces gars que vous voyez dans les films, assis avec une tasse de café dans sa main à attendre son avion. Quand j’ai finalement pris place, j’ai dormi pendant 13 heures. Il était hors de question pour moi de manquer la course, même si pour cela j’aurais dû nager jusque là-bas. »
En partenariat avec















Déposer un commentaire
Alerte de modération
Les données que vous renseignez dans ce formulaire sont traitées par GROUPE LA CENTRALE en qualité de responsable de traitement.
Les données obligatoires sont celles signalées par un astérisque dans ce formulaire.
Ces données sont utilisées à des fins de :
Vous disposez d’un droit d’accès, de rectification, d’effacement de ces données, d’un droit de limitation du traitement, d’un droit d’opposition, du droit à la portabilité de vos données et du droit d’introduite une réclamation auprès d’une autorité de contrôle (en France, la CNIL).
Pour en savoir plus sur le traitement de vos données : Politique de confidentialité
Alerte de modération