Cette petite série « Tant qu'il y aura des hommes » publié ce jour précis qui fête la femme est souriante mais pas que. Vous noterez que le vocabulaire employé dans les seventies / early eighties contraste sauvagement avec celui des automobiles éco-responsables que l'on nous sert de nos jours. L'utilité est la même, l'image un peu moins. La virilité masculine étant ringarde, le déplacement automobile accusé de tous les maux, il faut pour vendre de la voiture que l'on flatte vos instincts de sauveur de la planète et non plus ceux du tueur qui sommeille en vous et qui paradoxalement est celui qu'on réclame dans 90% des boulots pour lesquels vous postulerez.


Oui, paradoxalement, la société n'a jamais été aussi dure avec ses composants humanoïdes que, par ailleurs, on exalte et pousse à s'entretuer tandis que le message automobile tend plutôt vers le bisounours vert et l'amour de son prochain. Décalage. Mais pour revenir à notre sujet du jour (de toujours ?) , terminons par un :


Tant qu'il y aura des hommes … il y aura une journée de la femme.


Ne nous remerciez pas.


Je vous invite à découvrir l'intégralité de ces galeries de photos sur La Jamais Contente ou le Blenheim Gang



La journée de la femme selon La Jamais Contente


Petit exercice : en quoi imaginez-vous que roule cet homme là, juste au dessus dans les années 70 ?