La Région Languedoc-Roussillon impulse un pôle d’échanges multimodal.

Le Comité de pilotage de la gare Montpellier Saint-Roch (composé de représentants de l’Etat, SNCF, RFF, Région et d’autres collectivités) s’est réuni hier afin de faire le point sur les études dédiées à la nouvelle gare de Montpellier Saint-Roch.

Les collectivités ont examiné le dossier qui leur était présenté par la SNCF. Pour répondre à la demande qui lui a été faite fin 2008 de revoir complètement son projet, la SNCF a proposé de nouvelles réponses aux attentes des usagers dans le cadre de l’enveloppe financière décidée entre le président de la Région Georges Frêche et le président de la SNCF Guillaume Pepy.

Elément structurant du système ferroviaire de l’aire montpelliéraine, le pôle d’échanges multimodal TER Montpellier Saint-Roch s’inscrit dans un dispositif d’ensemble impulsé par la Région visant à faire du ferroviaire une pierre angulaire du développement durable du Languedoc-Roussillon.

Avec l’ensemble des projets engagés pour offrir aux habitants un service de transport à la hauteur des besoins (contournement Nîmes-Montpellier, Ligne à grande vitesse Montpellier-Perpignan, Origine-Terminus et pôles d’échanges à Lunel et Sète…) en cohérence avec la perspective de gares nouvelles, le pôle Montpellier Saint-Roch constituera un des pivots du transport régional.

Le comité de pilotage a donné son accord à la poursuite de la démarche engagée pour aboutir d’ici fin 2009 à un cadre juridique et financier dans la perspective d’une mise en service de la nouvelle gare à l’automne 2013.