Malgré des chiffres encourageants, les véhicules dits « alternatifs » ne représentent que 1,6% des immatriculations neuves en France.

Si le vert a de plus en plus le vent en poupe chez les automobilistes, la tendance reste timide à l'échelle du marché français. Avec une offre qui s'élargit doucement mais sûrement, les immatriculations des véhicules hybrides a progressé de 37% en 2011, et le nombre de voitures électriques a été multiplié par 10.

Des chiffres sont encourageants, mais force est de constater qu'il ne faut pas se réjouir trop vite car le moteur thermique reste plus que jamais incontournable : en effet, les véhicules « alternatifs » (électriques, hybrides, GPL, GNV, superéthanol) ne représentent que 1,6% des immatriculations neuves.

La révolution verte n'est pas pour tout de suite.


Source : metro du 12 janvier 2012