L'Urban Cruiser n'est pas une nouveauté puisqu'il se décline sous d'autres badges de la galaxie Toyota à travers le monde. En Europe ce sera un Toyota et à Paris, il s'équipait pour la première fois du 1.4l D-4D en mode traction intégrale.

L'Urban Cruiser a une gueule, c'est peu de le dire. Il verserait plutôt du côté Dodge de la "force" que celui du Rav4. Bref, la voie choisie par Toyota est tgotalement inverse à celle de Renault qui voulait faire de son Koleos un 4x4 le plus discret possible. Dans seulement 3.93m, les ingénieurs ont réussi à dégager de l'espace utilisable alors que sa largeur de seulement 1.772m lui permet de se mouvoir en ville sans trop de soucis. 314 litres de capacité pour le coffre qui offre 2 configurations selon le modèle. Le 4x4 possède des sièges inclinables quand la version 4x2 propose des sièges coulissants, inclinables et escamotables.

Le nouveau moteur 1.33lDual VVti 100 ch et 132 Nm de couple équipé d'un système Stop&Start est disponible en 2 roues motrices. Ainsi gréé, son taux de rejet CO2 est de seulement 130 gr/km.

Le 1.4l D-4D 90 ch et 205 Nm de couple est lui disponible en 2 ou 4 roues motrices. Ses rejets CO2 sont respectivement de 120 ou 133 gr/km.

L'Urban Cruiser se veut aussi sécurisant que ce que son physique laisse entrevoir et il ambitionne les 5 étoiles Euro Ncap. En entrée de gamme, il proposera les vitres électriques, les jantes 16 pouces et l'autoradio CD mp3. La climatisation manuelle ne sera qu'en option.

L'urban Cruiser sera commercialisé en mars prochain et Toyota compte en écouler 30.000 dont une moitié en transmission intégrale. La crise ? Quelle crise ?