Ce charme était intimement lié au rapport encombrement/habitabilité des différentes berlines qui ont constitué les flottes de Yellow Cab. Seulement, à partir de 2013, ce sont des Nissan NV200, soit des camionnettes aménagées, qui vont devenir le lot commun.


Ce n’est pas le fait que le choix de la Taxi and Limousine Commission se soit porté sur un constructeur étranger que l’on critiquera ici mais plutôt qu’il ait porté à la fois sur une camionnette et sur une camionnette insipide.


Certes le besoin de trouver un meilleur rapport encombrement/habilité semble évident, certes le besoin de trouver des véhicules plus écologiques que les actuels taxis est tout aussi évident et louable, mais que l’on ne nous fasse pas avaler qu’il n’y avait pas, sur le marché, véhicule plus singulier qu’une Nissan NV200 pour faire office de Yellow Cab…