Il est 22h, il est J-1 ; il est donc grand temps de rendre tous nos hommages à François Chapus.


En plus d’être un ponte, en plus d’être tombé dans une marmite de science infuse automobile lorsqu’il avait 22 ans, François Chapus fait le timide devant la caméra (pourtant, acteur AAA+, il crève toujours l’écran). Eh oui, observez-le bien dans « notre tube de l’été », pendant que certains de mes délicieux collègues se pavanent et se déhanchent devant notre rédacteur en chef vénéré une fois n’est pas coutume planqué derrière son écran. Il est là qui veille, qui vérifie son texte, son orthographe, sa ponctuation, fidèle disciple d’Erasme, l’inventeur de l’édition. François Chapus est un essayeur et journaliste automobile comme on n’en connaît guère : méticuleux, passionné, passionnant (amoureux oseront certains ou certaines) ; François Chapus est un modèle, une source d’inspiration, un adepte manifeste de la belle trajectoire et des lignes d’immeubles… tendues. François Chapus, élève autant que moniteur, François Chapus, fin connaisseur des routes et des détours en France, est le John Griffith Chaney de l’ouvrage automobile technique, c’est un philosophe de l’automobile à tout point de vue. François, telle est ma glorieuse mission aujourd’hui : au nom de centaines de milliers, te remercier et te louer.


Puisque le privilège m'est donné de commencer: loué sois-tu.