Latribune relevait certaines paroles assez explicites dans le cortège des salariés de PSA venus défiler. « Hollande, le changement c'est le néant », pouvait-on entendre. Et pour cause, le président de la république avait promis de recevoir les délégués syndicaux de PSA Aulnay s'il était élu. François Hollande a tenu parole, mais s'est apparemment cantoné à honorer sa parole, si l'on en croit les responsable syndicaux qui ont noté un manque d'implication du président, qui a montré son soutien aux salariés sans pour autant proposer une quelconque mesure ni aucune action. Et pour cause, le chef de l'Etat ne peux pas grand chose dans ce plan de licenciement. La famille Peugeot semble ferme vis à vis de la fermeture de l'usine d'Aulnay, et les récentes conclusion du rapport de l'expert mandaté par l'Etat confirment la mauvaise gestion du groupe et la necessité d'une restructuration.
Malgré une promesse de réunion tripartite pour la mi-octobre faite par François Hollande, les salariés d'Aulnay n'y croient plus vraiment et étaient surtout présent pendant la réunion à l'extérieur de l'Elysée pour connaître les modalités de reclassement et de licenciement.
En attendant cette fameuse réunion du mois d'octobre, beaucoup espèrent une prime de licenciement correcte et à la hauteur des moyens de la famille Peugeot. Affaire à suivre.
















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