Sachez que les amoureux de la Porsche Carrera GT vont vivre durant ces trois jours un festival pour les moins plaisant à base de chevaux par centaines et de personnalisation plus ou moins marquée.

Commençons par une version « de base » en guise d’introduction à cette trilogie sur fond de symphonie en V10 mineur.. La beauté du diable dans une robe de sang, ou l’utilisation d’une bête de piste sur les pavés parisiens... Une fois de plus on peste de voir qu’une telle auto est réduite au stade de déplaçoir urbain pour conducteur à casquette blanche... Je n’ai rien contre les casquettes quelle que soit leur couleur, mais entendons par là que l’utilisation de l’auto est assez orientée « cruising », et probablement typé barres parallèles (pour aller de bar en bar...)

Et pourtant une telle cavalerie de 612 chevaux capable d’arracher le 0 à 200 km/h en moins de 10 secondes a besoin d’espace et de place pour s’exprimer... En connaissant la consommation d’un tel missile, au jour d’aujourd’hui, l’utiliser à un but purement utilitaire peu sembler légèrement décalé...