L'affaire n'est pas anodine. Au point que le gouvernement italien s'en mêle : «J'ai parlé à Marchionni. C'était une conversation téléphonique amicale et je lui ai dit ce que je compte lui redire quand je le verrai : je lui demanderai que Fiat reste en Italie et demeure une entreprise italienne ». Dixit Flavio Zanonato, ministre italien de l'Industrie qui cause ici de l' administrateur délégué de Fiat.
La faute à cette fusion avec Chrysler tandis que l'enseigne Fiat Industrial voisine chercherait à prendre pied chez la perfide Albion. Mais comment être surpris ? Le même Sergio Marchionne n'avait-il pas déclaré au moment du rapprochement des deux marques : « j'ai toujours vu Fiat et Chrysler devenir une seule entité à un moment donné » ? Et la question du départ de la péninsule se pose avec d'autant plus d'acuité que la conjoncture veut que Fiat présente des comptes positifs seulement grâce aux performances de Chrysler.














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