La Chine compte 16 des 20 villes les plus polluées au monde. C'est à partir de ce constat que Carlos Ghosn s'est dit qu'il fallait miser fortement sur l'électrique à batteries dans l'Empire du Milieu. Le patron de l'alliance Renault-Nissan a annoncé lors d'une conférence au Portugal que Nissan dans un premier temps, puis Renault, allaient développer des autos électriques en Chine (dès 2015) avec les partenaires locaux comme Dongfeng. Le but avoué pour Carlos Ghosn est de supplanter la montée des hybrides et de faire adopter l'électrique par les Chinois.
Une mission qui ne semble pas si impossible puisque, contrairement à l'Europe, la Chine place de gros espoirs dans la mobilité électrique et investit fortement dans ce sens. Carlos Ghosn a également affirmé que la Chine allait avoir une capacité de production de deux millions de véhicules électriques et hybrides rechargeables par an dès 2020. Un marché que le patron de Renault Nissan ne veut pas manquer.

















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