Renault a fait la une de l’actualité automobile hexagonale toute la semaine. Alors, cela va continuer. Un article de La Tribune pose ici la question de la « méthode Renault ». Au gouvernement on a en effet diagnostiqué Renault. Et c’est simple : c’est la méthode qui est en cause. D’autres préfèrent incriminer la tête du groupe français. Et donc, Carlos G., qui n’en demandait pas tant, se retrouve sur la sellette. Pour Frédéric Fréry, dont nous avions relayés les propos en fin de semaine passée, Carlos Ghosn dispose « d’un talent plus politique que stratégique ». C’est la thèse qu’il développe dans un entretien avec L’Usine Nouvelle. A lire, incontestablement. Pour clore ce chapitre Renault, revenons-en à des considérations plus basiques, industrielles et commerciales, celles qui font le lot quotidien du groupe français. Un article de La Tribune évoque un coup d’accélérateur pour la première usine de Renault en Chine.


Un autre article (le dernier pour cette semaine) de La Tribune s’intéresse au nouveau partenaire européen de l’autre groupe automobile français PSA Peugeot Citroën. Il s’agit bien entendu de Opel, filiale du groupe américain General Motors. Cet article nous explique pourquoi Opel est prié de se restructurer en quatrième vitesse.