Uber ne recule pas. Mais, on contraire, avance. Lorsque l'on est en mesure de lever 4,6 milliards en neuf mois, on peut se permettre une certaine assurance. Et envisager l'avenir. Son patron Travis Kalanick a donc effectué un achat stratégique avec l'éditeur de cartographie créé en 1996 deCarta. Le montant de l'opération n'a pas été révélée, mais l'intention est limpide. Une grande quantité de fonctionnalités qui font la fiabilité d'Uber reposent sur les cartes.
Avec l'acquisition de deCarta, il sera possible d'affiner les services basés sur les cartes, comme par exemple UberPOOL, qui est une synthèse entre UberPOP et le covoiturage, et la façon dont sera calculé le temps d'arrivée des chauffeurs. De même, la recherche et la transversalités des points d'intérêts n'en seront que plus performantes.
Uber est présent dans 45 pays et il vient de se doter d'un moyen qui lui permettra d'effectuer des recherches locales dans 122 pays. Le message est clair.














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