Les routiers et les chauffeurs de bus iraniens soumis à des contrôles routiers devront bientôt uriner dans un flacon, dans le cadre d'une campagne anti-drogue au volant lancée par la police. Selon l'agence Isna, 10% des chauffeurs iraniens prennent de la drogue. Pour réduire le triste chiffre de 100.000 morts sur les routes en cinq ans, la police iranienne se voit donc obligée d'ajouter des détecteurs de drogue à son équipement de contrôle. Les chauffeurs qui seront testés positifs verront leurs permis annulés et seront déférés en justice. Le pays compterait environ deux millions d'usagers d'opium, d'héroïne, de morphine ou de cannabis.















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