
Electrification, voiture autonome, relance d'Opel et retour aux Etats-Unis: le patron de PSA Carlos Tavares s'est exprimé sur la stratégie du groupe dans les dix ans à venir.
Electrification, voiture autonome, relance d'Opel et retour aux Etats-Unis: le patron de PSA Carlos Tavares s'est exprimé sur la stratégie du groupe dans les dix ans à venir.
PSA annonce des ventes mondiales en hausse de 15 %, à 3,63 millions de véhicules. Mais ce bilan intègre Opel. Sans l'allemand, la hausse n'est que de 2,5 %. Si Peugeot cartonne grâce à ses SUV, Citroën recule fortement, plombé par la Chine.
C’est une mesure de la nouvelle loi travail qui a été mise en exergue, et pourtant, son principe date de dix ans déjà. C’est en effet depuis l’ère Sarkozy que l’on entend parler de rupture conventionnelle et 2,5 millions de personnes l'auraient déjà utilisée. Il s’agit d’une procédure qui permet à l'employeur et au salarié en CDI de se séparer "à l’amiable". À présent identifié comme rupture conventionnelle collective, le dispositif va notamment être mis en branle au sein du groupe automobile PSA. Ce qui n’a pas manqué de susciter des commentaires au sein d’une entreprise en bonne santé. Aujourd’hui, des députés de LREM écrivent à Carlos Tavarès, PDG du groupe automobile sur le sujet. Mais pas pour renier ce qu’ils ont voté…
Avec plus de 2,1 millions de voitures neuves vendues, 2017 restera comme un bon cru pour le marché automobile français. Reste que plusieurs modèles-stars connaissent des jours difficiles, ainsi que vous pouvez le découvrir dans le "Flop 25" établi en exclusivité par Caradisiac.
Souvent les passionnés d’automobile sont en mode « tout fout l’camp », regrettant notamment les temps d’avant. La fermeture du showroom Citroën des Champs-Élysées devrait redonner du grain à moudre au club de nostalgiques des promenades dominicales parisiennes. Des réfractaires au changement certes, mais aussi des passionnés qui prouvent que l’auto n’est pas (encore) un objet comme les autres.
L’année 2018 est lancée et c’est donc l’occasion de boucler la précédente pour solde de tout compte. Pour ce qui est du marché français de l’automobile, les chiffres présentent un paysage deux millions de voitures neuves par an, ce qui revient au niveau qui était celui d’avant la crise de 2009 (2,05 millions d'unités en 2008). Le marché tricolore a donc retrouvé son niveau naturel il devrait connaître une nouvelle année de croissance, mais à un rythme moins rapide.
Dix mois après le deal entre Carlos Tavarès et Mary Barra scellant l’accord de vente d’Opel par PSA pour 1,3 milliard d’euros, PSA fait volte-face et réclame un rabais de près de la moitié de la somme. Le prétexte : un vide sidéral au programme en matière de baisse de C02 de la gamme de l’allemand. Une lacune pourtant connue. En cause surtout : un blocage de la fabrication de l’Opel Ampera-e qui pourrait être un bon motif pour obtenir une ristourne.
Selon Reuters, PSA aurait trouvé un premier accord avec le fabricant japonais de boîtes de vitesses Aisin pour produire ses boîtes automatiques en France, sous licence. Un premier pas vers une possible production 100 % française, si Ainsi acceptait le partenariat sur le sol français.
Les deux grands groupes français viennent de présenter leurs résultats financiers pour le 3e trimestre 2017. Ils sont bons. Coté ventes, Renault s'en sort mieux que PSA, qui limite la casse avec l'intégration d'Opel.
Après quatre ans de commercialisation, les C4 Picasso et Grand C4 Picasso de seconde génération totalisent 500 000 ventes.
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