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Les derniers poêles à mazout sont sortis des usines européennes de la firme suédoise. L'occasion de revenir sur quelques diesels emblématiques…

Renault Group et Volvo Group ont annoncé ce vendredi la création officielle Flexis, une coentreprise dédiée à la production de véhicules utilitaires légers électriques nouvelle génération.

Après avoir investi des sommes colossales dans des constructeurs européens et le développement de nouvelles marques, le groupe chinois Geely semble peiner à convaincre les investisseurs du bien-fondé de ses projets. Ses autos électriques de luxe ont-elles vraiment de quoi concurrencer Porsche et les marques premium allemandes ?

Il fut une époque ou chaque marque premium avait des clients bien identifiés. L'on pouvait aisément rédiger un petit traité de sociautologie facile rien qu'en les observant. Mais c'est terminé, les pistes se sont brouillées. De plus en plus souvent, les conducteurs de Mercedes, BMW et Audi se ressemblent

Attention, on ne parle pas du Volvo fabriquant de voitures (désormais possédé par les Chinois de Geely) mais de celui spécialisé dans les utilitaires lourds qui possède Renault Truck. Avec Renault, les deux sociétés vont construire des vans électriques via la nouvelle société Flexis.

Volvo abandonnera le diesel dès l’année prochaine. La marque se félicite de laisser tomber cette technologie pour se focaliser sur les voitures électriques.

Volvo a décidé de ne vendre que des SUV au Royaume-Uni, ce qui veut dire par conséquent que les berlines et les breaks ne sont plus disponibles au catalogue. Est-ce une décision spécifique à ce marché ? Ou le break Volvo, jadis « la brique », est-il amené à disparaître ?

A cause d’un problème de mise au point lié à son équipement technologique, le Volvo EX90 va retarder son lancement de six mois.

L'Europe de l'automobile a peur de la Chine et de ses voitures en passe d'envahir notre marché. Pourtant, 46 % des modèles en provenance de l'Empire du milieu sont de marques occidentales, conçues ici et fabriquées là-bas par des groupes qui, pour certains d'entre eux, fustigent la menace chinoise.

Après Ford et Stellantis, c'est au tour de Volvo d'annoncer des licenciements sur ses terres suédoises. Elles sont évidemment liées à l'électrification de la marque mais aussi à une rivalité de plus en plus féroce dans le premium, entre les marques déjà établies, et celles qui aspirent à le devenir.