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Commentaires - Le plein de vapeurs d'essence cancérigènes

Pierre Desjardins

Le plein de vapeurs d'essence cancérigènes

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Par Anonyme

En effet, l'essence (super 95 et 98)contient du benzene, produit {{cancerogene}}, en faible quantité certe, moins de 1%, mais très dangereux.

Vous pouvez etre contaminé par inhalation ou par contact sur la peau. Vos globules blancs n'apprécieront pas, ni votre systeme nerveux d'ailleurs. Alors eviter de sniffer l'odeur grisante de l'essence à votre prochain plein, mettez vous avec le vent dans le dos, eloignez vous du pistolet. Aux etats unis, ils ont des renifleurs sur le pistolet qui aspirent les vapeurs, a quand en France ?

Par Anonyme

il y a un article sur ce sujet dans Que Choisir d'octobre 2006.

Par Anonyme

  Mesdames, Messieurs,       Concernant vos problèmes de toxicité/santé et de risques d’incendie/explosion en stations service, nous pouvons vous apporter une solution. La société Covaltech à Lyon propose une machine de condensation de vapeurs de carburants en stations service (appelée Optimgaz), dont la performance et l’intérêt écologique ont été testés et approuvés par le biais d’analyses très poussées. Toxicité des vapeurs d’essence en station service : Nous savons qu’un plein d’essence dure environ 3 minutes et que nous respirons 30 L d’air pendant ce lapse de temps. Sachant que lors de cette opération nous respirons un air saturé en benzène de l’ordre de 50 μg/m3, cela équivaut à inhaler 1,5 μg de benzène lors d’un plein d’essence. N’en parlons pas les personnes exposées en continu, comme celles travaillant dans les kiosques et les conducteurs/livreurs de camions citerne. L’exposition des personnels aux benzènes, pourrait dans un futur proche, provoquer des maladies professionnelles telles que nous les connaissons pour l’amiante. Avec la machine Optimgaz, il n’y a plus de surpression donc plus d’émission de vapeurs de carburant sur la station. Les personnels ne sont plus exposés à ce risque. La récupération vapeurs phase II génère des surpressions dans les cuves contenant l’essence. Cette surpression provoque parfois des émanations de gaz dans les trous d’homme et parfois même des remontées de gaz jusque dans le kiosque d’encaissement. La machine Optimgaz, dans son process, établit un équilibre parfait entre toutes les cuves de la station. Les cuves se retrouvent à la pression atmosphérique. De ce fait, si les étanchéités sont correctes, les gaz C.O.V. plus lourds que l’air ne peuvent présenter de danger. Protection de l’environnement : Lors de chaque dépotage de camion, le gaz chargé de particules de C.O.V. représente un volume non négligeable de carburant. Il est admis par la profession que ce volume représente en moyenne annuelle 3 litres pour 1 000 litres du volume livré. Les mesures effectuées avec nos prototypes équipés de chromatographes en phase gazeuse ont confirmé que cette valeur pouvait être admise, et qu’elle représente plutôt le bas de la fourchette. Une station service ayant un débit d’essence supérieur ou égal à 2500 m3/an rejette en moyenne 3,9 tonnes par an de composés organiques volatils (COV) via les pistolets de distribution. Avec 80% au moins de récupérations des gaz rejetés lors des transferts de carburant (exigence minimale du décret de mai 2001), la récupération peut être estimée approximativement à 3,1 tonnes par an de COV par station service. La machine Optimgaz (voir son principe dans le site www.covaltech.com), réduit de 98% les composés organiques volatiles et les composés aromatiques (dont le benzène). Bien que la réglementation ait déjà permis de lutter contre les émissions de C.O.V., les dispositifs actuels sont encore perfectibles. La machine Optimgaz, dans son process, évite le dégazage par les évents dû aux surpressions générées par la récupération phase II. Malgré toutes les précautions prises par les professionnels, des dégazages accidentels se produisent parfois. Traité avec la machine Optimgaz, le contenu du camion après livraison est « dénaturé » des particules de carburant, de sorte qu’il ne peut y avoir d’émission de C.OV. Ceci a été prouvé par des analyses chromatographiques en phase gazeuse, réalisées par le laboratoire d’application à la chimie et à l’environnement de l’INSA à Villeurbanne et pilotées en interne par un Docteur en analyses physico-chimiques. Notre partenariat avec l’Institut Français du Pétrole (IFP), nous a permit d’analyser les condensas récupérés et être sûr de leur nature. La sécurité des transports des matières dangereuses que sont les carburants : Actuellement, sans le traitement des gaz, un camion ayant récupéré les C.O.V. en station, représente un risque important, équivalent à 600 Kg de TNT (source APTH). Le camion traité n’est plus exposé à ce danger. La quantité résiduelle de C.O.V. est si faible que le « triangle du feu » est rompu. Optimgaz c’est donc l’alliance de la Sécurité, de l’écologie et de la rentabilité. Le développement du système OPTIMGAZ a été rendu possible grâce au partenariat avec l’IFP (Institut Français du Pétrole). L’institut Français du Pétrole est un est un organisme public de recherche et de formation, à l’expertise internationalement reconnue, dont la mission est de développer les énergies du transport du XXIe siècle.    Nous vous invitons à prendre connaissance de ce système en visitant le site internet www.covaltech.com Optimgaz - la condensation des vapeurs de carburant en stations service

Par Anonyme

:buzz:Salut, moi, je travaille dans une station service, et les vapeures d'essence je sais de quoi je parle. Car mon kiosque d'encaissement ne faisant que environ 4,00m2 est j'ai des remontées de vapeures a l'interieur, même en ouvrant en grand, car ça doit venir par le dessous de la guitoune. La prochaîne fois que je serais dans cette situation je ferme carrément la guitoune. J'en ai parlé au directeur, mais bon. Si quelqu'un peu me donner un conseil pour trouver un appareil qui me donnerais le niveau de vapeur, et la quantité que je respire dans une journée, même si c'est de temps en temps. Merci

 

Par Anonyme

La toxicité du benzène est connue depuis au moins 20 ans, j'ai appris cela au sujet des leucémies pendant mes études. Il y a eu des problèmes quant on a supprimer le plomb entre 1992 et 2000, le SP98 pouvait avoir une teneur de 3,5%. L'Europe  a definit des normes qui s'applique  depuis quelques années et la teneur moyenne observée est passée de 2,1% en 1992 à moins de 1% du volume d'essence en 2000 pour le benzène. Concernant les autres aromatiques qui sont presque aussi dangereux mais moins volatiles ils sont passés de 42% à 35% du volume d'essence.   Pour répondre à Coton, le charbon actif peut adsorber le benzène et certains composés organiques volatils. Il existe  depuis longtemps des filtres qui suppriment les odeurs au dessus des friteuses par exemples mais aussi sur des hôtes aspirantes.  

 

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