
Pour un tiers des Français, il a fallu renoncer à un poste nécessitant de traverser bien plus qu’une rue pour s’y rendre. Preuve que la mobilité est un enjeu économique essentiel, mais coûteux.
Pour un tiers des Français, il a fallu renoncer à un poste nécessitant de traverser bien plus qu’une rue pour s’y rendre. Preuve que la mobilité est un enjeu économique essentiel, mais coûteux.
C'est bien connu, tout le monde déteste passer au péage. Pourtant, un sondage montre que 58% d’entre nous préfèrent le système de paiement actuel, qui ne concerne que les usagers, à des autoroutes gratuites dont l'entretien serait financé par l'impôt de tous.
L’INFO DU JOUR. L’Association des maires de France s’indigne des faibles moyens accordés aux collectivités pour assurer l’entretien des routes, ce qui se traduit pour l’usager par une augmentation du risque d’accident. Evoquant un réseau "au bord de la rupture" et dont "le modèle économique ne tient pas", les élus en appellent donc à l’Etat pour qu’il redistribue une partie des recettes publiques générées par la route.
Le week-end de Pâques à venir s'annonce particulièrement chargé sur le réseau routier français. Il correspondra à la première semaine des vacances scolaires pour la zone A (académies de Besançon, Bordeaux, Clermont-Ferrand, Dijon, Grenoble, Limoges, Lyon et Poitiers.), la seconde pour la zone C (académies de Créteil, Montpellier, Paris, Toulouse et Versailles) et la fin des vacances pour la zone B (académies d’Aix-Marseille, Amiens, Caen, Lille, Nancy-Metz, Nantes, Nice, Orléans-Tours, Reims, Rennes, Rouen et Strasbourg).
Ce week-end marquera le début des vacances scolaires pour la zone C (académies de Créteil, Montpellier, Paris, Toulouse et Versailles) et la seconde semaine de pause printanière pour la zone B (académies de Aix-Marseille, Amiens, Caen, Lille, Nancy-Metz, Nantes, Nice, Orléans-Tours, Reims, Rennes, Rouen, Strasbourg). Une convergence qui ne devrait malgré tout pas occasionner de grosses difficultés de circulation sur le réseau routier français, hormis en Île-de-France où la situation va se tendre dès ce vendredi.
Le ministre des Transports, Philippe Tabarot impose aux sociétés gestionnaires d’autoroutes des travaux de remise en état du réseau avant l’échéance de leur contrat. Un premier pas avant de repenser la gestion des autoroutes.
L’État et les collectivités territoriales peinent à entretenir et sécuriser un réseau routier français de plus en plus dégradé. Face au mur colossal des investissements à consentir, l'État essaye de nouvelles expériences de gestion décentralisée, et passe la gestion des dossiers chauds aux régions. Mais qui va payer ?
Le tribunal administratif de Toulouse a annulé ce jeudi 27 février l’arrêté préfectoral autorisant la construction de l’autoroute A69 Toulouse Castres. L’État va faire appel. Bataille juridique et histoire de gros sous en perspective.
Il s’agit pour le moment d’une phase d’expérimentation, mais la technologie de recharge dynamique par induction fait son petit bonhomme de chemin.
Le premier février rime avec nouveaux tarifs autoroutiers. Alors que l’autorité des transports annonçait en décembre dernier une augmentation modérée, les derniers tarifs applicables divulgués aujourd’hui montrent des hausses parfois nettement plus salées.
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