
Des Formules 1 aux modèles plus populaires, les 180 lots de la vente Artcurial -The Renault Icons ont trouvé preneur, pour un total de près de 12 millions d’euros. Un montant exceptionnel pour un constructeur grand public.

Des Formules 1 aux modèles plus populaires, les 180 lots de la vente Artcurial -The Renault Icons ont trouvé preneur, pour un total de près de 12 millions d’euros. Un montant exceptionnel pour un constructeur grand public.

Non seulement les décisions prises par Carlos Tavares en réaction aux ventes catastrophiques de la Fiat 500e électrique paraissent assez logiques lorsqu’on écoute les explications des dirigeants de la marque, mais l’enseigne du groupe Stellantis doit vraiment renaître de ses cendres l’année prochaine sur le marché européen.

Le constructeur chinois Leapmotor, partenaire de Stellantis, a récemment fêté sa première année de présence en France. Les ventes restent encore modestes dans l'absolu, mais n'empêchent pas des ambitions élevées.

L’ancien patron de Stellantis profite de la sortie de son livre pour donner quelques interviews et s’exprimer près d’un an après son départ. Mais des lignes de son ouvrage à ses phrases dans la presse ou sur les ondes, l’homme dis parfois une chose avant de proclamer l’inverse.

Passionnante interview que celle accordée cette semaine au Point par Carlos Tavares, l’ex-dirigeant du groupe Stellantis. Passionnante, car dépourvue de langue de bois. Morceaux choisis.

On pourrait le croire en comparant les investissements réalisés là-bas aux annonces de chômage technique d’ici. Mais le groupe a fait ses comptes et l’Amérique est beaucoup plus rentable que la vieille Europe.

Alors que les constructeurs européens ont rendez-vous à Bruxelles le 12 septembre prochain pour évoquer leur avenir, ils multiplient les déclarations pour réclamer un report, et évoquer les difficultés, de l'échéance qui les force à stopper les ventes de voitures thermiques dans quinze ans.

Possédée à 21% par Stellantis après une décision de l’ancien patron Carlos Tavares, la marque chinoise Leapmotor devient enfin bénéficiaire. Elle vend toujours peu de voitures en Europe, mais c’était peut-être un bon investissement.

Sa petite place dans le concert de l'automobile mondiale et la rémunération proposée qui ne peut pas être à la hauteur des premiers de la classe, peuvent peut-être limiter Renault dans le recrutement d'un nouveau directeur général. D’où la tentation d'une promotion interne.

C’est une énorme surprise : le directeur général du groupe Renault s’en va pour rejoindre Kering, le groupe de luxe et de distribution fondé par François Pinault.
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