Teu-teu-teu... non ce n’est pas la sonorité émise par cette Audi A5, mais plutôt celle de mes frêles poumons a l’idée du fumet noir que pourrait émettre cette motorisation dynamisée par une gestion électronique « magique » !!

Car avec un bond de 60 chevaux en avant, le 3.0 Tdi doit forcément tourner un peu riche, et fumer un peu noir.. Sans rentrer dans le puéril débat essence/diesel, il faut reconnaître que les dernières motorisations zouzout offrent un agrément de conduite rare, et des performances assez insolentes, pas de quoi en faire des sportives, mais quand même.. Ce coupé A5 file désormais a 280 km/h et s’assure un surplus de stabilité grâce à un rabaissement de 40 mm et des jantes de 21 pouces chaussées en 295..

Le blanc immaculé de la carrosserie cohabite avec de jolies touches de carbone, mais avec un tel bousin sous le capot, la malle arrière ne doit pas rester propre bien longtemps.. Un bien joli déplaçoir, qui semble confirmer que le marché des coupés sportifs est en pleine mutation, et que les attentes des consommateurs évoluent..