Les qualités de l'Alfa Romeo Giulietta QV restent méconnues (la MiTo est nettement moins réussie) et c'est dommage car elle se révèle bien plus agréable à utiliser que ses homologues d'outre-Rhin au comportement et à la définition moins « caressants », moins agréables. Toutefois, ses qualités et sa définition technique (moteur boîte) se paient et c'est probablement là que le bât blesse car elle n'est pas ou plus en position de leader mais plutôt de challenger, ce qui ne lui permet pas d'afficher des tarifs identiques à certaines autos référence du segment sans donner l'impression d'être chère. J'imagine que dans la situation actuelle de la marque, il sera possible de négocier et d'obtenir cette auto à un prix plus concurrentiel, et si c'est le cas, laissez vos émotions faire et ne résistez pas à la beauté de ses lignes car même en mouvement, une Giulietta se révèle être une vraie ensorceleuse.