Karun Chandhok a tenu à mettre en garde le paddock de la F1 sur les risques et l’organisation particulière qui règnent en Inde. Le pilote national souligne la particularité de son pays par rapport aux autres rendez-vous.
La F1 se prépare à disputer son premier Grand Prix d’Inde ce week-end sur le circuit de Buddh International récemment construit près de New Delhi. En attendant impatiemment la réponse du Team Lotus pour savoir s’il pourra disputer la course, Karun Chandhok évite la langue de bois et tient à prévenir le paddock de la F1 sur la particularité de son pays par rapport à d’autres rendez-vous moins exotiques.
« C’est organisé dans le chaos, un peu comme au Brésil ou en Malaisie », avoue Karun Chandhok au journal Blick. « Cela affecte tous les domaines : le trafic, la nourriture ou la manière de vivre. Nous sommes très exubérants. Dès le moment où l’on arrive, on comprend cette fièvre populaire, ce qui surprendra tout le monde car l’Inde est un pays qui possède une âme. Rien n’est structuré, si quelqu’un dit 12h30, il peut vouloir dire 1h ou 2h, un peu comme en Italie. Il faut se faire vacciner, mais la plus grande attention concerne la nourriture. »
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