Trois ambiances (Expression Dynamique et et Privilège) combinables entre deux et trois niveaux d’équipements (Confort, Confort Pack Clim et Luxe) constituent le cœur de gamme, donnant le choix entre 30 versions (sans tenir compte des deux types de carrosserie 3 et 5 portes, ni des choix de boîtes automatique ou robotisées). Ces associations sont disponibles avec au minimum 4 moteurs différents et même avec tous en Confort Pack Clim. Aux extrêmes, le niveau d’équipement d’entrée de gamme Pack a droit à une ambiance unique Authentique et aux motorisations 75 et 100 ch en essence et 70 ch en Diesel, tandis qu’à l’opposé, l’Initiale se réserve une ambiance spécifique du même nom uniquement livrable avec les deux moteurs les plus puissants.

Essai - Renault Clio III : une longueur d’avance

Quelques équipements inédits (le badge "mains libres" déjà mentionné) ou rares dans la catégorie sont proposés comme les feux additionnels de virage hérités de la Modus inclut dans le Pack Style (ou Look ?) avec masque fumé sur les projecteurs (de série sur Initiale, indisponible sur Pack, 150 € pour les autres), le pack enfant comprenant en place centrale AR un appui-tête convertible, une assise raccourcie et un guide sangle de ceinture approprié pour les 6-10 ans (80 € sauf Pack). Au programme encore parmi une longue liste d’options, le régulateur-limiteur de vitesse (série sur Luxe et Initiale, 220 € sur Confort et Confort Pack Clim), les projecteurs au xénon (uniquement sur Initiale, 500 €), ou le guidage GPS à petit affichage matriciel du fléchage et vocal (1 000 €, sauf Pack).

Les prix augmentent environ de moins de 100 euros (1.2 16V en base) à 1 100 euros (pour la finition Initiale avec le dCi 105, contre 800 € pour la 1.6 16V de même niveau d’équipement) par rapport à la Clio II, ce qui nous semble tout à fait raisonnable en général, un peu moins pour les motorisations et les finitions hautes en Diesel. Bref, des prestations générales de haut niveau pour un prix concurrentiel.