Qu’apporte l’hybridation par rapport à la Lexus LS 460 : la puissance d’un 6 litres comme le laisse présager l’appellation LS 600h ? Une diminution substantielle de la consommation et des rejets de CO2? Encore plus d’agrément et de silence à bord ? Pourquoi une transmission intégrale permanente uniquement sur cette LS 600h ? Peut-elle inquiéter les berlines et limousines de prestige allemandes à moteur V10 ou V12 ? Réponses après notre essai réalisé sur les routes alsaciennes et les autoroutes d’Outre Rhin.

Sommaire
Note
de la rédaction
15/20
Assurément, la Lexus LS 460 commercialisée depuis le début de l’année 2007 peut rivaliser sans gros complexes avec la plupart des berlines de prestige européennes à moteur V8 de moins de 400 chevaux. Surtout que cette troisième génération de LS (après la 400 et la 430 et deux restylages) adopte une carrosserie au style plus avenant sans se départir de son caractère statutaire. Mais bon, afin d’enfoncer le clou et aller chercher les ténors allemands à 10 et 12 cylindres au sein du segment H2, il fallait autre chose. L’hybridation par exemple, qui permet au vaisseau amiral Lexus de se démarquer de ses rivales en jouant dans le registre de la haute technologie tout en affichant une image écologiquement plus présentable. Attention, véhicule hallucinant, de silence, de raffinement, …
Déposer un commentaire
Lire les commentaires
Alerte de modération
Alerte de modération
Par Anonyme
JUSTE DES REMARQUE INFONDÉES MR LES ESSAYEURS. ET OUI IL N'Y A PAS QUE LES EUROPÉENS QUI SAVENT FAIRE DE TRES BONNES VOITURE. MAIS ON EST CHEZ CARACASSE.....
Par lorenzozozo
Comme d'hab' Caradisiac anti groupe Toy a été le seul magazine à ne pas couvrir et ne faire aucun article sur la nouvelle LS présentée il y a 48 heures... sérieux la honte caradisiac. Vraiment nul. Ca fait 10 articles sur des voitures improbables et ça ne présente pas le fleuron de l'une des grosses marques premium.
Déposer un commentaire