Ce n'est plus un secret pour personne, mais bon nombre d'écuries de Formule 1 ont fortement été affectées par la crise économique.
Du côté de chez Williams, qui ne bénéficie pas du soutien d'un grand constructeur, la situation était très périlleuse. Petrobras et Lenovo par exemple, ont tout simplement mis un terme à leur partenariat avec l'écurie !
La réduction des coûts était donc plus que nécessaire, et a peut-être sauvé la firme anglaise, comme le souligne Franck Williams:
"Vu les difficultés financières auxquelles nous faisons face, la politique de réduction des coûts a été très bénéfique.
Nous avons besoin de dégager des bénéfices pour rester en course. Des profits sont donc nécessaires tous les ans. Nous avons perdu de l'argent ces 2 ou 3 dernières années, mais nous avons des réserves pour supporter cela."
Ce qui l'a peut-être aussi sauvé, c'est l'avance consentie par Bernie Ecclestone, soit 17 millions d'euros, dans ce cadre des accords Concorde.
Ecclestone s'est d'ailleurs exprimé à ce sujet:
"C'est une avance de démarrage. Elle est liée aux accords Concorde. Nous leur avons dit que nous leur donnions l'argent maintenant."
Adam Parr a souligné le tournant que devait prendre le financement d'une écurie de F1 pour survivre:
"Je pense que nous avions atteint un point où il était impossible e continuer à demander des prêts."
L'écurie Williams est sauvée pour cette année, mais, comme pour Toyota, de bons résultats sont nécessaires pour continuer l'aventure.
Les points vont être très chers cette année en F1 !
Source: Autosport














Déposer un commentaire
Alerte de modération
Les données que vous renseignez dans ce formulaire sont traitées par GROUPE LA CENTRALE en qualité de responsable de traitement.
Les données obligatoires sont celles signalées par un astérisque dans ce formulaire.
Ces données sont utilisées à des fins de :
Vous disposez d’un droit d’accès, de rectification, d’effacement de ces données, d’un droit de limitation du traitement, d’un droit d’opposition, du droit à la portabilité de vos données et du droit d’introduite une réclamation auprès d’une autorité de contrôle (en France, la CNIL).
Pour en savoir plus sur le traitement de vos données : Politique de confidentialité
Alerte de modération