Mauvaise année pour l’équipe de France de rugby. Les hommes de Bernard Laporte ont terminé le Tournoi des VI Nations avec 3 défaites en 5 rencontres. Une compétition difficile pour Fabien Pelous, le capitaine du XV tricolore. Malgré tout, le 3e ligne toulousain s’affirme progressivement comme l’une des références mondiales de l’Ovalie. Rencontre avec un homme discret mais terriblement efficace…

Caradisiac : Quelle est ta voiture actuellement ?

Fabien Pelous : Une Peugeot 306 HDI

Caradisiac : Pourquoi avoir choisi une 306 HDI ?

Fabien Pelous : C'est un bon compromis car avec cette voiture, je peux faire à la fois de la ville et de l’autoroute. Sur longue distance, elle est vraiment agréable.

Caradisiac : Tes autres voitures ?

Fabien Pelous : Pas mal de marques différentes. Une BMW 318 TDS, des Renault 19 et turbo diesel et trois 306 d’affilée, dont un cabriolet. Caradisiac : Quelle était ta première voiture ?

Fabien Pelous : C'était une Renault 19 essence, que j'avais achetée d'occasion. Pour une première voiture, c'était largement suffisant.

Caradisiac : Quand tu achètes une voiture, sur quoi se porte ton attention ?

Fabien Pelous : Tout d'abord sa ligne, c'est une condition indispensable. Ensuite, la consommation et l'aspect pratique,

Caradisiac : La voiture de tes rêves ?

Fabien Pelous : J'avoue que la Ferrari Testarossa est la voiture que j'aimerais avoir car sa ligne est magnifique. Dans des prix plus abordables, la Peugeot 406 coupé.

représente également un gros coup de cœur. Les grosses berlines sont très confortables, très agréables à conduire, mais elles m'attirent moins.

Caradisiac : Quel type de conduite as-tu ?

Fabien Pelous : J'ai plutôt une conduite tranquille, même s'il m'arrive de rouler vite mais, par rapport aux autres rugbymen, je suis assez calme au volant.

Caradisiac : Plutôt neuf ou plutôt occasion ?

Fabien Pelous : J'ai de la chance car l’équipe de Toulouse a un contrat avec Peugeot qui nous prête des voitures neuves. Malgré tout, cela ne me dérange pas de conduire une seconde main, mais j'avoue que c'est agréable de rentrer dans une auto qui sent le neuf.

Caradisiac : Ton plus mauvais souvenir ?

Fabien Pelous : C'était la 306 cabriolet. J'ai trouvé cette voiture bruyante et pas du tout pratique. C'était mon premier cabriolet, et je pense que je n'avais pas mesuré l'aspect quotidien de ces modèles. J'ai donc été très déçu.

Caradisiac : Ton meilleur souvenir ?

Fabien Pelous : Sans contestation, la BMW 318. Je l'ai eue à l'époque où je jouais à Dax et je faisais souvent des allers-retours Dax-Toulouse. Sur autoroute, elle est très agréable à conduire et, en plus, elle est belle.

Caradisiac : Tes rapports avec la maréchaussée ? d'où le choix du diesel.

Fabien Pelous : Je ne suis pas un gros client pour la gendarmerie ou la police car j'ai une conduite tranquille. J'ai dû me faire arrêter une ou deux fois dans ma vie, mais le fait d'être célèbre aide. Quand je suis contrôlé, les gendarmes me demandent rarement mes papiers car ils me reconnaissent.

Caradisiac : En cas de panne, tu es plutôt débrouille ou tu appelles tout de suite un dépanneur ?

Fabien Pelous : En général, j'essaie toujours de voir d'où vient le problème, mais cela devient de plus en plus compliqué avec l'électronique. Quand c'est juste une panne du genre batterie, pas de problème, j'assure.

Caradisiac : Enfin, as-tu un bon souvenir de ton permis ?

Fabien Pelous : Très, très bon. Les cours étaient formidables car on discutait rugby avec le moniteur. C'était vraiment sympa. Le permis s'est passé dans des conditions inoubliables car j'ai dû conduire pendant 3 km : je suis parti d'une entrée de la rocade de Toulouse et je me suis arrêté à la suivante. L'inspecteur m'a demandé de m'arrêter en plein milieu. Je me suis donc garé et il m'a dit : “C'est bon.” Je pense qu'il a dû voir que j'avais plus que mes vingt heures de conduite d'auto-école, car j'avais déjà conduit avec mes parents quand j’étais jeune.

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