Le Grand Prix d’Europe se profile ce week end sur l’inédit tracé urbain de Valence, qu’ont déjà arpenté les Formule 3 et autres GT des championnats espagnols. Un site dont on dit beaucoup de bien et dont on loue les infrastructures dernier cri, et pourtant, une voix discordante s’élève depuis aujourd’hui dans cette contemplation. Celle de Bridgestone qui s’inquiète de la tenue d’un asphalte qui a donné des signes de faiblesse lors des premières compétitions, les organisateurs ayant été dans l’obligation de panser les plaies de la piste avec des plaques de béton.
Mais ce qui est le plus préoccupant pour le manufacturier nippon est le raccordement du tracé avec le pont. Un raccordement qui impose une différence de niveau de 15 mm, soit une valeur suffisante pour craindre des dommages sur les pneus les plus tendres, avec, pour sanction, des crevaisons.

De fait, la maison japonaise a officiellement demandé à la FIA d’étudier la question et de s’engager sur une réponse. Une remise à niveau serait la solution idéale. Une option qui n’est pas forcément faisable d’ici les premiers essais qui auront lieu dès demain, vendredi.














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